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Des colonies de pucerons aptères se développent sur la face inférieure des jeunes feuilles. Bien que les populations de pucerons soient initialement faibles au printemps, le dessous des feuilles et les tiges infestées deviennent généralement recouverts de pucerons aux mois de juin et juillet. Entre 3 et 13 générations de pucerons aptères vont se succéder avant que des formes ailées commencent à apparaître vers la fin juin et le début de juillet. Les pucerons ailés migrent vers un hôte secondaire qui est généralement du phragmite et des quenouilles. Quelques générations supplémentaires de pucerons farineux du prunier aptère vont se succéder sur ces hôtes avant que de nouveaux individus ailés soient produits à l'automne. La nouvelle génération de pucerons ailés migre de retour vers un hôte primaire pour y pondre des œufs qui passeront l'hiver jusqu'au printemps suivant ...
D'ailleurs, le pourcentage d'adultes ailés tend à augmenter lorsque les populations sont très élevées. À l'automne, la diminution de la photopériode induit la production de femelles et de mâles ailés qui migrent vers le nerprun. Ces femelles ailées engendrent des femelles aptères qui sont fécondées par les mâles, il s'agit de la reproduction sexuée. Les œufs de ces femelles passeront l'hiver en diapause sur le nerprun. Il est intéressant de noter que les infestations de pucerons du soya peuvent être causées par les pucerons hibernant au Québec ainsi que par les pucerons des migrations estivales en provenance d'autres régions, notamment les États-Unis. De plus, ce ravageur peut aussi se retrouver sur le haricot à la suite de migrations massives d'individus ailés en provenance du soya ...
Cette première génération de pucerons, constituée uniquement de femelles, atteint la maturité entre les mois de mai et de juin. C'est à ce moment que des individus ailés commencent à apparaître au sein des colonies de pucerons. Ces individus quittent l'hôte primaire et migrent dans les cultures de laitue, où ils se reproduisent par parthénogenèse et donnent principalement naissance à des femelles aptères. Plusieurs générations de pucerons seront ainsi produites et se chevaucheront pendant les mois d'été. Lorsque le plant devient surpeuplé ou que sa qualité nutritive diminue, des femelles ailées sont produites puis migrent et colonisent de nouveaux plants. À l'automne, entre les mois de septembre et d'octobre, des pucerons ailés mâles et femelles sont produits ...
Brassicacées) et produisent quelques générations supplémentaires. À la fin de l'été, des femelles ailées, dites sexupares, sont produites. Elles migrent à nouveau vers un hôte primaire et donnent naissance à des mâles et des femelles ovipares. Après s'être accouplées, les femelles pondent leurs œufs, qui passent ainsi l'hiver jusqu'au printemps prochain. Toutefois, il est connu que certains pucerons passent la totalité de la saison sur les mêmes cerisiers. À la fin de l'été, ces pucerons femelles produisent également des femelles sexupares ailées qui migrent et colonisent de nouveaux hôtes primaires. Dépistage : Inspecter régulièrement les jeunes feuilles en développement à compter du débourrement des bourgeons. Les dommages deviennent plus apparents à partir de la mi-juin ...
Les femelles adultes déposent leurs larves directement sur le plant; il n'est donc pas rare d'observer différents stades de développement sur un même hôte. À l'automne, des individus ailés vont migrer de nouveau sur des plants de spirées, sur lesquels ils vont se reproduire de manière sexuée. Les femelles qui se sont accouplées vont pondre leurs œufs directement sur l'hôte, sur lequel ces derniers passeront l'hiver. Dépistage : Il est possible d'observer des pucerons ailés en été et à l'automne, surtout lorsque les infestations sont importantes. Ils sont généralement repérables dans des colonies mixtes avec le puceron vert du pommier. Contrôle biologique : Quelques parasitoïdes s'attaquent au puceron de la spirée, dont Aphelinus mali et Diaeretiella rapae ...
Après avoir complété leur développement nymphal sur les plants de pommiers, la majorité des punaises migre vers les plants de molène présents en périphérie des vergers. Elles y restent pour le reste de l'été pour y compléter une seconde génération et ce n'est qu'à l'automne que les femelles gravides retournent sur les pommiers pour y pondre les oeufs hibernants. En plus d'être des ravageurs, les larves ainsi que les adultes sont aussi des prédateurs de petits arthropodes au corps mou, tels que les pucerons, les thysanoptères (thrips) et les tétranyques. La présence de cette espèce peut donc s'avérer bénéfique, dans une certaine mesure, principalement pour les cultivars moins sensibles. Adulte ...
C'est-à-dire que ce puceron produit une génération sexuée et plusieurs générations asexuées pendant la saison, et ce, toujours sur la même plante hôte. Chez cette espèce, l'hibernation a lieu au stade d'œuf. Les œufs éclosent au printemps. Tout de suite après leur émergence, les jeunes larves se déplacent jusqu'à leur plante hôte et elles commencent à en sucer la sève. Les multiples générations estivales de cette espèce se reproduisent par parthénogénèse et envahissent donc rapidement leur plante hôte. Les pucerons se nourrissent à même la tige ou sur le revers des feuilles. Lorsque l'automne arrive, la colonie commence à produire des individus mâles ailés qui s'accoupleront avec des femelles pouvant se reproduire de façon sexuée. Après s'être accouplées, les femelles pondent leurs œufs directement dans le sol en prévision de l'hiver ...
Fleur : coulure potentielle.   Épi : stérilité partielle ou totale des épis ou épillets. Réduction du calibre et du nombre de grains par plante.   Plante entière : réduction ou augmentation du tallage. Rabougrissement et nanisme possibles. Au Canada, cinq espèces de pucerons sont impliquées dans la transmission du virus. Les souches de virus sont nombreuses et certaines sont spécifiques aux pucerons tandis que d'autres sont transmises par les cinq espèces. Les souches de virus non spécifiques sont les plus virulentes. Les épidémies se font à partir des pucerons ailés, transportés par le vent, en provenance des États-Unis. Ces pucerons infectés transmettent le virus aux plantes saines par la sève en se nourrissant. Les pucerons se déplacent d'un plant infecté à un plant sain créant des foyers de la maladie et si la population de pucerons ailés est importante, l'entièreté du champ peut être infectée ...
Pour limiter la propagation des virus, il faut utiliser des semences certifiées exemptes de virus, mais la méthode la plus efficace consiste à employer des cultivars résistants lorsqu'ils sont disponibles. Éliminer les plantes virosées, les volontaires, les mauvaises herbes et les plantes susceptibles d'attirer les pucerons en champ et contrôler les pucerons vecteurs.   Pour contrôler les pucerons près des serres, le blé peut être cultivé comme plante-abri. Il fournit des sites de nourritures aux pucerons. Lorsque ces derniers se nourrissent, le virus présent sur leur stylet est dilué par la sève du blé et perd son pouvoir infectieux. Les symptômes causés par les Potyvirus peuvent être confondus avec ceux d'une phytotoxicité par les herbicides ...
Pour contrôler le virus de la mosaïque de la luzerne, il faut éviter de cultiver les plantes ornementales à proximité de luzernières ou de champs de trèfle et les blessures aux plants. Contrôler les mauvaises herbes et éradiquer les plantes qui sont infectées. Dépister régulièrement les pucerons. L'emploi d'insecticides de contact et systémique a une certaine action sur les pucerons aptères, qui se déplacent d'un plant à l'autre sur la rangée, mais n'a pas d'impact sur les pucerons ailés qui propagent le virus d'un champ à l'autre. La transmission rapide du virus aux plantes saines n'est pas suffisamment longue pour que l'insecticide agisse sur le puceron. Les plantes qui sont produites végétativement par bouturage (ex. : hydrangée, géranium) doivent inclure l'AMV dans les programmes de dépistage ...

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