À l'automne, des individus ailés vont migrer de nouveau sur des plants de spirées, sur lesquels ils vont se reproduire de manière sexuée. Les femelles qui se sont accouplées vont pondre leurs œufs directement sur l'hôte, sur lequel ces derniers passeront l'hiver. Dépistage : Il est possible d'observer des pucerons ailés en été et à l'automne, surtout lorsque les infestations sont importantes. Ils sont généralement repérables dans des colonies mixtes avec le puceron vert du pommier.
Contrôle biologique : Quelques parasitoïdes s'attaquent au puceron de la spirée, dont Aphelinus mali et Diaeretiella rapae. Le puceron de la spirée est fréquemment confondu avec le puceron vert du pommier (Aphis pomi). Une observation au microscope est nécessaire pour les différencier ...
Le prélèvement de sève effectué par le puceron cause le recroquevillement et un dépérissement du feuillage. De plus, le miellat qu'il sécrète favorise le développement de fumagine, qui nuit à l'activité photosynthétique de la plante-hôte. Cette espèce est aussi vectrice de plusieurs virus affectant les fraisiers.
Bien qu'il puisse former des colonies assez importantes, le puceron du fraisier n'est pas considéré comme étant un ravageur d'importance dans les cultures de fraises. Le puceron du fraisier produit plusieurs générations par année. L'hibernation s'effectue au stade d'oeuf, directement sur les fraisiers. Cet insecte se développe et se reproduit par parthénogenèse sur le fraisier pendant toute la saison de croissance. Il s'alimente sur les nouvelles pousses, généralement sur le revers des feuilles ...
Les femelles qui se sont accouplées vont pondre leurs œufs directement sur l'hôte, sur lequel ces derniers passeront l'hiver. Dépistage : Il est possible d'observer des pucerons ailés en été et à l'automne, surtout lorsque les infestations sont importantes. Ils sont généralement repérables dans des colonies mixtes avec le puceron vert du pommier.
Contrôle biologique : Quelques parasitoïdes s'attaquent au puceron de la spirée, dont Aphelinus mali et Diaeretiella rapae. Le puceron de la spirée est fréquemment confondu avec le puceron vert du pommier (Aphis pomi). Une observation au microscope est nécessaire pour les différencier.
Le puceron de la spirée présente une résistance à certains insecticides. Colonie de pucerons des spirées sous une feuille d'aronia ...
Ribes (cassissier, gadellier, groseillier, etc.). L'œuf éclot tôt au printemps, entre les mois d'avril et de mai, et la larve commence aussitôt à s'alimenter des jeunes tissus de son hôte. Cette première génération de pucerons, constituée uniquement de femelles, atteint la maturité entre les mois de mai et de juin. C'est à ce moment que des individus ailés commencent à apparaître au sein des colonies de pucerons. Ces individus quittent l'hôte primaire et migrent dans les cultures de laitue, où ils se reproduisent par parthénogenèse et donnent principalement naissance à des femelles aptères. Plusieurs générations de pucerons seront ainsi produites et se chevaucheront pendant les mois d'été. Lorsque le plant devient surpeuplé ou que sa qualité nutritive diminue, des femelles ailées sont produites puis migrent et colonisent de nouveaux plants ...
De trois à quatre semaines plus tard, les fondatrices atteignent la maturité et commencent à se reproduire de façon asexuée (parthénogénèse). La génération engendrée par les fondatrices est constituée uniquement de femelles aptères. Ces dernières vont s'alimenter des jeunes feuilles, habituellement à partir de la face inférieure, et vont coloniser de nouvelles portions de l'hôte au fur et à mesure que les feuilles se développent et durcissent. C'est pour cette raison que les pucerons forment des colonies populeuses sur les pousses terminales des arbres, où de nouvelles feuilles sont continuellement produites. Lorsque les pousses terminales deviennent surpeuplées, des individus ailés commencent à apparaître au sein des colonies. Les pucerons ailés s'envolent afin de coloniser de nouveaux cerisiers ou de nouvelles plantes (les hôtes secondaires appartiennent généralement à la famille des Brassicacées) et produisent quelques générations supplémentaires ...
Les œufs éclosent au printemps, généralement au stade du bouton blanc. Des colonies de pucerons aptères se développent sur la face inférieure des jeunes feuilles. Bien que les populations de pucerons soient initialement faibles au printemps, le dessous des feuilles et les tiges infestées deviennent généralement recouverts de pucerons aux mois de juin et juillet. Entre 3 et 13 générations de pucerons aptères vont se succéder avant que des formes ailées commencent à apparaître vers la fin juin et le début de juillet.
Les pucerons ailés migrent vers un hôte secondaire qui est généralement du phragmite et des quenouilles. Quelques générations supplémentaires de pucerons farineux du prunier aptère vont se succéder sur ces hôtes avant que de nouveaux individus ailés soient produits à l'automne ...
États-Unis, au Canada et au Mexique. Cette espèce produit plusieurs générations par année. L'hibernation s'effectue au stade d'œuf. À partir de la fin mai, les œufs éclosent et des colonies denses de plusieurs centaines d'individus commencent à apparaître sur les branches des arbres.
Relativement peu d'information est disponible au sujet du cycle biologique complexe de ce puceron. Il comprend des générations sexuées et asexuées. Les générations successives de l'été sont constituées seulement de femelles vivipares qui donnent naissance à de jeunes larves. À l'automne, une génération sexuée produit des œufs qui hibernent. La taille des colonies diminue généralement au milieu de l'été. Dépistage
Il est généralement assez difficile de repérer les colonies de ce puceron sur le terrain, car sa couleur le camoufle bien ...
La fumagine altère la coloration des fruits et affecte leur valeur commerciale. Le puceron de la digitale est un insecte originaire d'Europe qui est maintenant répandu à travers le monde. Il est présent partout aux États-Unis et dans le sud du Canada. Il est considéré comme un important ravageur en serriculture.
Malgré sa répartition mondiale et les dommages qu'il occasionne, la biologie du puceron de la digitale demeure relativement peu connue. Le nombre de générations qu'il produit par année est inconnu. Au Canada, en se basant sur la durée de développement, on peut supposer qu'il produit au moins quatre ou cinq générations par année dans les champs. Les populations se développent rapidement au début du printemps et elles atteignent leur apogée entre la mi-juin et la mi-juillet ...
Au printemps, les œufs éclosent en synchronie avec le débourrement de la plante et donnent naissance à des femelles aptères. Après une à quelques générations se développant sur le nerprun, les femelles produisent une descendance de femelles ailées qui migrent vers le soya. Il peut y avoir jusqu'à vingt générations constituées uniquement de femelle sur le soya, il s'agit de la reproduction par parthénogenèse. En juillet et août, de 2 à 5 % des pucerons de chaque génération sont ailés, augmentant leur pouvoir de dispersion. D'ailleurs, le pourcentage d'adultes ailés tend à augmenter lorsque les populations sont très élevées. À l'automne, la diminution de la photopériode induit la production de femelles et de mâles ailés qui migrent vers le nerprun ...
Ce puceron s'attaque à un grand nombre de cultures fruitières, maraîchères et ornementales. Il endommage les plantes en suçant leur sève et en rejetant de grandes quantités de miellat sur le feuillage, favorisant ainsi l'apparition de fumagine. De plus, il est vecteur d'une cinquantaine de virus. Il est fréquent dans les serres et les tunnels en régions tempérées. Sous nos latitudes, ce puceron cosmopolite hiberne au stade d'oeuf, sur une plante hôte primaire. Certains individus peuvent aussi traverser l'hiver dans des serres et sont ensuite transférés dans les champs à partir des transplants. Les oeufs ayant hiberné à l'extérieur éclosent au printemps. Les femelles vont ensuite produire une ou plusieurs générations de façon parthénogénétique sur l'hôte primaire ...