Recherche par mots clés :

Hemiptera / Cicadellidae - Oeuf : environ 1,0 mm; il est transparent juste après la ponte et devient vert par la suite. Larve : 3,0 mm à maturité; le corps est vert pâle et semblable à celui de l'adulte, mais avec des ailes incomplètes; les pattes postérieures sont longues, épineuses et adaptées pour le saut. Adulte : 3,0 à 4,0 mm; le corps est vert pâle avec des taches blanches sur la tête, le thorax et le scutellum; les pattes postérieures sont longues, épineuses et adaptées pour le saut; les ailes sont translucides et plus longues que le corps. La cicadelle de la pomme de terre est une espèce polyphage pouvant se nourrir sur plus de 200 espèces végétales, ses préférées étant la luzerne, le haricot et la pomme de terre. Parmi les autres p
Le vent cause des dommages aux feuilles et aux pétioles en créant des blessures mécaniques, du frottement, de l'abrasion par des particules de sol ou en exposant la face inférieure des feuilles aux rayons du soleil. Comme la face inférieure de la feuille est plus sensible aux rayons du soleil, cela peut engendrer une insolation. Les dommages par le vent sont généralement occasionnels et mineurs. La fraise, la framboise, le pommier et le poirier sont sensibles au vent. Les blessures créent des portes d'entrée pour les bactéries et les champignons. Feuille : brunissement à noircissement du limbe à la face inférieure. À la face supérieure, le limbe devient vert foncé à pourpre à brun puis sèche. Les dommages surviennent lorsque deux ou plusieu
- Peu de virus sont observés dans les framboisières au Québec. Trois virus ont été répertoriés jusqu'à maintenant soit le virus de la tache annulaire de la framboise (ToRSV), du rabougrissement jaune du framboisier (syn. mosaïque de l'Arabis (ArMV)) et du rabougrissement du framboisier (RBDV). Les deux premiers ont comme vecteur le nématode Xiphinema spp. tandis que le RBDV est transmis par le pollen. Aucun de ces virus n'a été observé dans cet échantillon. Il n'y a pas de méthodes de lutte efficace contre les virus dans les cultures vivaces une fois l'infection installée. Un ensemble de mesures préventives reste l'approche la plus recommandable pour éviter la maladie. Pour limiter le développement des virus dans les framboisières
Le manganèse (Mn) est un élément mineur requis dans les réactions d'oxydoréduction et pour l'activation de certains enzymes jouant un rôle vital dans la photosynthèse, la respiration et la formation de la chlorophylle.   Au Québec, les céréales (blé, orge, avoine), le soya, certains légumes (betterave, concombre, haricot, laitue, pois, radis) et petits fruits (fraise, framboise) ont des exigences élevées en Mn. Quant à elle, la tomate a une exigence modérée. La toxicité en Mn varie selon la plante et se manifeste en moyenne lorsque la concentration est supérieure à l'intervalle 300 à 500 ppm. À titre d'exemple, chez le maïs, la concentration doit être à supérieure à 200 ppm tandis que chez le soya, elle doit être à supérieure à 600 et supér
Le vent cause des dommages aux feuilles, aux tiges et aux gousses en créant des blessures mécaniques, du frottement, de l'abrasion par des particules de sol ou en exposant la face inférieure des feuilles aux rayons du soleil. Comme la face inférieure de la feuille est plus sensible aux rayons du soleil, cela peut engendrer une insolation. Les dommages par le vent sont généralement occasionnels et mineurs. Les petits fruits (fraise, framboise), le pommier, le poirier, les Allium et le haricot sont particulièrement sensibles au vent. Les blessures créent des portes d'entrée pour les bactéries et les champignons. Les rendements peuvent être à la baisse lorsque les gousses destinées au marché frais sont touchées. Feuille : présence de
Le manganèse (Mn) est un activateur d‘enzymes et joue un rôle vital dans la photosynthèse, la respiration et la formation de la chlorophylle. Une carence en Mn affecte la photosynthèse, mais inhibe également l'élongation cellulaire dans les racines et la formation de racines secondaires. Le manganèse n'est pas mobile dans la plante et ce sont les feuilles supérieures qui montrent les premiers symptômes.   Au Québec, les céréales (blé, orge, avoine), le soya, certains légumes (betterave, concombre, haricot, laitue, pois, radis) et petits fruits (fraise, framboise) ont des exigences élevées en Mn. La disponibilité du manganèse est liée au pH du sol. Les sols naturellement alcalins ne présentent pas nécessairement de carence en Mn, c'est plutô
Le magnésium (Mg) est un élément très mobile dans la plante. Il joue un rôle essentiel dans la formation de la chlorophylle, la synthèse des protéines, des glucides et de l'ARN, dans l'activation de différentes enzymes végétales et dans l'assimilation du phosphore (P) dans la plante. L'absorption du magnésium peut être inhibée par l'azote ammoniacal (ammonium - NH4), le potassium (K), le sodium (Na) et le calcium (Ca). Une carence en Mg inhibe la synthèse des protéines et de l'ARN et par le fait même, celle de la chlorophylle. Les plantes carencées ont tendance à accumuler de l'amidon dans les feuilles. Cette accumulation de l'amidon dans les chloroplastes réduit le développement des racines et augmente le rapport tige/racine ce qui fragili
- Les rouilles sont des maladies complexes causées par des champignons qui sont des parasites obligatoires. Elles sont autoïques ou hétéroïques et généralement spécifiques à leur hôte et à leur famille. Dans sa forme la plus complexe, les rouilles ont cinq types de spores (spermatie, écidiospore, urédospore, téliospore et basidiospore). La rouille jaune tardive du framboisier est une rouille hétéroïque, parfois autoïque. Dans la majorité des cas, elle a besoin de deux hôtes pour compléter son cycle soit l'épinette blanche (Picea glauca) et le framboisier rouge. Elle complète parfois tout son cycle uniquement sur le framboisier rouge. La rouille jaune tardive affecte le framboisier rouge et pourpre et le framboisier rouge sauvage.
(syn. Sphaerotheca macularis f. sp. fragariae) - Les champignons causant les blancs (oïdium) sont des parasites obligatoires. Ils tuent rarement leurs hôtes puisqu'ils sont nécessaires à leur survie. Chez le fraisier, le blanc est causé par Sphaerotheca macularis (syn. Podosphaera aphanis) et ce champignon n'est pas spécifique à la fraise. Il affecte également d'autres petits fruits (framboisier, gadellier, groseillier), des plantes ornementales (benoîte, coréopsis, filipendule, potentille, physocarpe doré, rosier, spirée) et le houblon. Chez le fraisier, le blanc est une maladie importante qui est fréquente mais mineure depuis l'utilisation des fongicides. Elle est plus sévère dans les produ
Les herbicides du groupe 4 regroupent les herbicides de type phytohormones de synthèse (ou régulateurs de croissance) et incluent les familles d'herbicides telles que les auxines synthétiques (phytohormones synthétiques ou acides phénoxy-carboxyliques), les acides benzoïques et les acides pyridiniques-carboxyliques. Ces herbicides sont absorbés prioritairement par le feuillage mais aussi par les racines. Ils peuvent s'accumuler dans les zones de division cellulaire intensive (méristème, bourgeon, racine) et sont transloqués dans la plante via le xylème et le phloème. Ce groupe d'herbicides affecte la balance hormonale et la synthèse des protéines (et autres constituants cellulaires), entraînant une perturbation de la division cellulaire et

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.