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En plus de l'aubépine, la rouille de l'aubépine affecte le pommier, le pommetier et occasionnellement, le poirier, l'amélanchier et le sorbier. C'est une rouille hétéroïque qui nécessite deux hôtes pour compléter son cycle vital. Au Québec, le champignon fait une partie de son cycle sur quelques espèces de genévriers (Juniperus spp.) et plusieurs espèces de genévriers ornementaux et le reste de son cycle sur une rosacée. La rouille de l'aubépine est une maladie occasionnelle et mineure sauf pour les plantes ornementales où leur valeur marchande est dépréciée. Pour limiter le développement de la rouille du cognassier, il faut acheter du matériel sain et vérifier l'état sanitaire des végétaux avant la plantation, se procurer des végétaux ayant une certaine tolérance à la rouille comme des genévriers à port rampant, éviter de planter à proximité des genévriers et des rosacées, assurer un dépistage lors des périodes critiques pour les infections et contrôler la maladie (taille et traitements fongiques préventifs) sur les genévriers et les rosacées La rouille de l'aubépine peut être confondue avec la rouille du genévrier, mais elle se distingue notamment par les tissus qui sont infectés, la longueur des écidies observées à la face inférieure des feuilles et la forme des galles sur les genévriers ...
Parmi les plus fréquentes au Québec notons la rouille du genévrier (G. juniperi-virginiana), la rouille du cognassier (G. clavipes) et la rouille de l'aubépine (G. globosum). Leur cycle vital et les méthodes de lutte sont similaires. Le développement de la rouille du genévrier se fait généralement sur le genévrier de Virginie (J. virginianae) et les Malus spp. (pommier, pommetier). La rouille est une maladie occasionnelle et mineure et les rendements ne sont généralement pas affectés. Le but ultime est de protéger les rosacées (surtout pommier et poirier) du stade écidie en brisant le cycle de la maladie en éliminant les genévriers, les hôtes intermédiaires et les rosacées sauvages. Se procurer des plants exempts de galles et sélectionner des cultivars résistants ou tolérants aux rouilles ...
Dans sa forme la plus complexe, les rouilles ont cinq types de spores (spermatie, écidiospore, urédospore, téliospore et basidiospore).   Chez les plantes ornementales, les rouilles sont plutôt rares, hormis la rouille du géranium, et ont peu d'impact économique, contrairement à la rouille chez les céréales. Les plants affectés meurent rarement, c'est surtout la qualité esthétique qui est affectée, les rendant invendables. Chez la véronique, la rouille, causée par le genre Puccinia, est relativement récente (environ 2004). Cinq espèces de Puccinia sont répertoriées chez la véronique soit Puccinia albulensis, P. rhaetica, P. veronicarum, P. veronicae (Eurasie seulement) et P. veronicae-longifliae. Ces rouilles sont autoïques et n'infectent que la véronique ...
C'est une rouille hétéroïque qui nécessite deux hôtes pour compléter son cycle vital. Au Québec, le champignon fait une partie de son cycle sur quelques espèces de genévriers (Juniperus spp.) et plusieurs espèces de genévriers ornementaux et le reste de son cycle sur une rosacée. La rouille du cognassier est une maladie occasionnelle et mineure sauf pour les plantes ornementales où leur valeur marchande est dépréciée. Pour limiter le développement de la rouille du cognassier, il faut acheter du matériel sain et vérifier l'état sanitaire des végétaux avant la plantation, se procurer des végétaux ayant une certaine tolérance à la rouille comme des genévriers à port rampant, éviter de planter à proximité des genévriers et des rosacées, assurer un dépistage lors des périodes critiques pour les infections et contrôler la maladie (taille et traitements fongiques préventifs) sur les genévriers et les rosacées La rouille du cognassier peut être confondue avec la rouille de l'aubépine et la rouille du genévrier, mais elle se distingue notamment par les tissus qui sont infectés et les chancres fusiformes observés sur les branches ...
Pour contrôler la rouille des feuilles, il faut employer des cultivars résistants et faire un semis précoce afin d'éviter ou de diminuer les infections à partir des urédospores provenant du sud. La majorité des fongicides utilisés sur le blé sont efficaces pour lutter contre cette rouille. Un dépistage rigoureux permet de détecter la rouille des feuilles qui se manifeste en premier sur les deux feuilles du haut avant la sortie de l'épi et sur la feuille de l'épi durant la sortie de l'épi. La rouille des feuilles peut être confondue avec la rouille des tiges (Puccinia graminis), mais les pustules de la rouille des feuilles sont presque rondes et beaucoup plus petites que celles de la rouille des tiges. Feuille : présence de pustules rouge orange, rondes à elliptiques, devenant noires avec la maturité de la culture ...
Pour contrôler la rouille des feuilles, il faut faire un semis précoce afin d'éviter ou de diminuer les infections à partir des urédospores provenant du sud. La majorité des fongicides utilisés sur le seigle sont efficaces pour lutter contre cette rouille. Un dépistage rigoureux permet de détecter la rouille des feuilles qui se manifeste en premier sur les deux feuilles du haut avant la sortie de l'épi et sur la feuille de l'épi durant la sortie de l'épi. La rouille des feuilles peut être confondue avec la rouille des tiges (Puccinia graminis), mais les pustules de la rouille des feuilles sont presque rondes et beaucoup plus petites que celles de la rouille des tiges. Feuille : présence de pustules rouge orange, rondes à elliptiques, devenant noires avec la maturité de la culture ...
Dans sa forme la plus complexe, les rouilles ont cinq types de spores (spermatie, écidiospore, urédospore, téliospore et basidiospore).   Chez les plantes ornementales, les rouilles sont plutôt rares, hormis la rouille du géranium, et ont peu d'impact économique, contrairement à la rouille chez les céréales. Les plants affectés meurent rarement, c'est surtout la qualité esthétique qui est affectée, les rendant invendables. Chez l'œillet, la rouille est causée essentiellement par Uromyces dianthi mais également par le genre Puccinia (P. dianthi, P. arenariae). Le développement des Uromyces ressemblent à celui des Puccinia. C'est une rouille autoïque qui affecte, entre autres, l'œillet, l'euphorbe, la gypsophile et la saponaire. Les plants peuvent être affectés à n'importe quel stade de développement ...
- Les rouilles sont des maladies complexes causées par des champignons qui sont des parasites obligatoires. Elles sont autoïques ou hétéroïques. Dans sa forme la plus complexe, les rouilles ont cinq types de spores (spermatie, écidiospore, urédospore, téliospore et basidiospore). La rouille commune est une rouille hétéroïque dont le cycle de la maladie se produit partiellement au Canada. Elle affecte le maïs grain et fourrager, le maïs sucré et le maïs semence. La rouille commune est considérée comme une maladie occasionnelle et mineure. Elle a peu d'impact économique, car elle survient tard durant la saison de croissance. Elle sera plus importante si l'infection se produit avant l'apparition des panicules mâles. Les pertes de rendement sont corrélées au pourcentage de la surface foliaire atteinte ...
À l'occasion, lorsque la plante hôte est très présente dans la plantation, la perte du feuillage peut être importante, ce qui peut engendrer des dommages considérables. Éliminer les plantes alternes dans la plantation et aussi loin que possible autour de la plantation. Aiguilles : Jaunissement d'un nombre variable d'aiguilles sur les pousses de l'année. Présence de structures tubulaires blanchâtres appelées écidies sous les aiguilles. Apparition des symptômes à la fin juin. Chute rapide des aiguilles. Le cycle biologique des rouilles est complexe, car il nécessite en général deux hôtes alternants où cinq types de spores différents sont produits. Au printemps, les basidiospores (un type de spores produites sur la plante alternante) sont éjectées et infectent les jeunes aiguilles du sapin ...
Gymnosporangium clavipes) qui infecte essentiellement les fruits, les rameaux et les pétioles, rarement les feuilles et la rouille de l'aubépine (Gymnosporangium globosum) qui infecte surtout les feuilles et occasionnellement les fruits et les rameaux. Leur cycle vital et les méthodes de lutte sont similaires.   En plus de l'amélanchier, la rouille de l'aubépine affecte le pommier, le pommetier et occasionnellement, le poirier et le sorbier. C'est une rouille hétéroïque qui nécessite deux hôtes pour compléter son cycle vital. Au Québec, le champignon fait une partie de son cycle sur quelques espèces de genévriers (Juniperus spp.) et plusieurs espèces de genévriers ornementaux et le reste de son cycle sur une rosacée. La rouille à Gymnoporangium est une maladie occasionnelle et mineure sauf pour les plantes ornementales où leur valeur marchande est dépréciée ...

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